Café n°6 - FEU
FOYER. Vous revoilà. Je ne saurais dire ma joie de vous revoir. Quoi de mieux qu’une compagnonne ou qu’un compagnon lorsque l’on est perdu dans une ville inconnue ? Je ne sais pas ce que je cherche au juste. Peut-être seulement à rentrer chez moi. Des petites maisons cossues se succèdent. Des centres commerciaux, des feux de circulation isolés sur un coin de route, à l’ombre des nuages. Malgré la joie que me procure votre compagnie, quelque chose me titille. Il n’y a personne ici...
On l’entend, ils tirent...
გესმის, ისვრიან...
un poème de Kato Javakhishvili traduit du géorgien par Eteri Gavasheli
Voyageurs de cristal
Putnici od stakla
un extrait de roman de Jovanka Živanović traduit du serbo-croate par Jovanka Kalaba et Flore Thoreau La Salle
Morgan des cendres
Morgan al ludu
une nouvelle d’Erwan Hupel traduite du breton par Keridwen François-Merlet
Le brasier du sang est en voie d’extinction
இரத்தத்தின் வெப்பம் அணைந்து கொண்டிருக்கி றது
trois poèmes de Kutti Reevathi traduits du tamoul par Faustine Imbert-Vier, Mathangi Ramasubramani et Chantal Delamourd
La Côte de maman
Annemin Kaburgası
une nouvelle de Burçin Tetik traduite du turc par Özsu Riv
Les Épis du feu
سنابل النار
un poème de Nazik al-Malaʼika traduit de lʼarabe par Lola Maselbas
En pleine nature
Ud i det grønne
une nouvelle de Rakel Haslund-Gjerrild traduite du danois par Anne-Christine Heck
#lettrecommande
#заказноеписьмо
textes de Daria Serenko traduits du russe par Julie Bonin
deux éléments
שני יסודות
un poème de Zelda traduit de lʼhébreu par Claire Bastier
Jusqu’aux champs brûlés
焼野まで
un extrait de roman de Murata Kiyoko traduit du japonais par Camille Sanchez
L’Adorateur du feu
آتش پرست
une nouvelle de Sadegh Hedayat traduite du persan par Sephora Vallotton
Ne croyez pas ce qu’on raconte sur moi
No cregui el que diuen de mi
une nouvelle de Joan Pons traduite du catalan par Agnès Elmaleh
Voient-ils le feu
Vide li vatru
un poème de Damir Nedić traduit du serbo-croate par Marie Karaś-Delcourt
Vieux Français en Égée
Γέροι Γάλλοι στο Αιγαίο
une nouvelle d’Alexandra K* traduite du grec par Aude Fondard
C’EST SUR MOI QU’ILS ONT TIRÉ
ЭТО В МЕНЯ СТРЕЛЯЛИ
poèmes de Kanat Omar traduits du russe par Stéphanie Bernoux